Je ne m'étendrai pas sur gros-relou number One qui me bouffe littéralement mon espace vital, mais en parler ce serait déjà trop d'honneur et surtout je vais casser mon clavier tellement il me saoûle.
Non, non, ce soir l'objet de mon ire, c'est X.Y, cinéaste plutôt intéressant que j'ai voulu interviewer l'autre jour.(oui, j'ai repris le journalisme, ça me pose moins de problèmes de dire "je suis journaliste" en soirée que "j'écris des modes d'emploi"). Le problème, c'est qu'il s'est mis en tête de me draguer. C'est vrai que sa filmographie et les prix qu'il a gagnés participent à son aura. Mais ce mec a 65 ans au bas mot !!!! Quelque part entre mon père et mon grand-père, il doit être né pendant la 2nde guerre mondiale.
C'est pas la loose, ça, franchement ?
J'attire deux catégories de personnes: les relous et les papis !
Je me vois déjà dans le café où je vais l'interviewer le regard des autres clients. Tiens, la jeune fille, elle sort son papy, c'est mignon les relations inter-générations...
Y a-t-il un moment dans leur vie où les hommes se rendent compte qu'ils sont ridicules à vouloir toujours plaire et qu'on peut peut-être établir d'autres relations (professionnelles par exemple) que celles de la séduction.
Pépé, remets ton dentier, si tu veux m'embrasser...
Allez un peu de
Chantal Goya , ça adoucit les moeurs...
PS: si je survis à cette interview, je ne dirais plus de mal des vieux!
je voudrais bien ton numero de telephone. pour faire avancer le schmili mili le schlimi milibi le schmilimiliblick!