Je me rappelle avoir pleuré à chaudes larmes lors de la lecture du livre de
Jean-Dominique Bauby . J'étais adolescente et pour autant que je m'en souvienne, c'est la première fois que je réalisais ce qu'était la mort et que tôt ou tard il fallait s'y confronter. Le courage de ce journaliste
paralysé du jour au lendemain suite à un accident cardio-vasculaire capable de dicter grâce à sa paupière ce que son esprit encore bien vivant voulait communiquer à ses proches m'a époustouflée.
Il me tarde de voir
le film .
la dire réalité d'une poussière dans l'oeil..