• Plutôt que de commenter l'actualité de manière fort pertinente comme à mon habitude ;) et de me livrer à une analyse sociologique en 4 points de la situation actuelle, je tenais à partager le texte que j'ai vu dans le métro sur une affiche de pub du genre 'poésie polonaise avec la RATP'. Le reste, ce sont des citations parmi tant d'autres ...

    Qu'est-ce qui peut pousser chaque jour tant de braves à déverser sur tant de personnes convenables un tel torrent de paroles, agressives, persuasives ou pensives, selon le caractère, le lieu ou la circonstance ?
    Claudio Magrio, Utopie et désenchantement aux Editions Gallimard

    J'ai dit et oui, je l'affirme encore aujourd'hui, il faut nettoyer certaines cités. Et quand je dis qu'il faut les nettoyer au Karcher, cela veut dire qu'il faut les nettoyer en profondeur.
    Nicolas Sarkozy,  à propos de la Courneuve en Juin 2005

    Quand tout l'monde dort tranquille
    Dans les banlieues-dortoir
    C'est l'heure où les zonards descendent sur la ville
    Qui c'est qui viole les filles
    Le soir dans les parkings
    Qui met l'feu aux buildings
    C'est toujours les zonards
    Alors c'est la panique sur les boulevards
    Quand on arrive en ville...
    (...)
    On agit sans mobile
    Ça vous paraît bizarre
    C'est p't être qu'on est débile
    C'est p't être par désespoir
    Du moins c'est ce que disent les journaux du soir
    Quand on arrive en ville
    Luc Plamondon in Quand on arrive en ville (Starmania)

    Je baiserai la France jusqu'à ce qu'elle m'aime.
    Tandem in 93 Hardcore

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  • ... est de Koyote. (cf Blogroll sur la gauche) Elle m'a fait rire pendant 5 minutes comme une débile toute seule dans le salon.

    "A part ton nombril, y a pas grand chose qui t'intéresse. Discuter avec toi, c'est un peu comme applaudir d'une seule main".

    Le pire, c'est que cette phrase, mes amis pourraient me la sortir sans complexe. Et je ne pourrai rien rétorquer, c'est vrai.

    Enfin ... Je me soigne. Regardez, je partage ma vie sur mon blog, c'est pas une super preuve d'altruisme ça ? ;-)

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  • Dans Le slow de la mort qui tue, Bénabar s'attaque à ce qui fait notre adolescence : les slows.
    Et à un moment, il raconte que ses associés (ses musiciens), faute de place dans le mini-bus qui les emmène en concert, ne veulent pas de violons dans leur slow. Ils font donc la partition des violons à la basse.
    Ca revient à peu près à jouer la 5eme de Beethov au triangle.
    Ou alors Star Wars à la flûte à bec et au Ukulele.
    Alors, j'aime beaucoup la flûte à bec (on ne se moque pas, c'est véridique) mais vraiment, là c'est trop drôle : Star Vacation


    Merci à M. Conrad pour le lien (je vais arrêter de lui faire des dédicaces, il va finir par prendre la grosse tête ...)

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  • Quand on arrive à la dernière page de cette BD, on est trop dégoûté que ce soit déjà fini !
    Petits riens du quotidien et gros bobos d'un professeur des écoles.
    Touchant et drôle.
    Le journal d'un remplaçant

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